Résultatpatient : CT gène R,N et E :>45. Contrôle positif : OK. Contrôle négatif : OK . Contrôle interne : 29. conclusion. RT−PCR Sarscov−2 : Négatif. commentaire. −. Si la valeur de Ct est . ou = 33 , la présence d'ARN viral détecté est compatible avec une excrétion virale significative. −. Si la valeur de Ct est > 33, la présence d'ARN virale détecté est compatible
Du 14 au 20 septembre, 1 074 309 personnes ont réalisé un test de dépistage pour le SARS-Cov-2. Le résultat est parfois attendu avec agitation et nervosité. Lorsqu’il est positif, aucun doute possible il faut appliquer les recommandations émanant des autorités de santé. Quand le résultat est négatif, cela peut conduire à des incertitudes. Quels sont les tests de dépistage ?Les laboratoires effectuent des tests PCR Polymerase chain reaction. Ce test est virologique. Il consiste en un prélèvement naso-pharyngé, à l’aide d’un écouvillon. Le but est de rechercher des traces du matériel génétique du virus dans les sécrétions. Il est préventif, car il diagnostique l’infection précocement. D’autre part, il existe les tests sérologiques. Ils recherchent, quant à eux, la présence d’anticorps IgG dans le sang. Un test positif révèle qu’une personne a déjà été infectée par le nouveau coronavirus. Quand le résultat du test est négatifCes formules sont des exemples susceptibles d’être inscrites sur le compte-rendu du test de dépistage génome du SARS-CoV-2 non détecté. Selon les dernières études, ce résultat ne peut pas exclure formellement une contamination par le SARS-CoV-2. » ;“recherche de Coronavirus SARS-CoV2 NEGATIVE. L’interprétation d’un test négatif doit tenir compte de la qualité du prélèvement, de la période d’incubation, de l’évolution clinique et radiologique éventuelle” ;“ce résultat n’exclut pas une infection par le SARS−Cov−2” ;et d’autres résultats sont difficiles à interpréter, car le “négatif” n’est pas catégorique. En effet, les laboratoires tentent d’être le plus précis possible d’un point de scientifique. Pour autant, ces conclusions ne concernent pas uniquement la Covid-19. Ces interprétations sont aussi valables pour d’autres pathologies, comme les hépatites. Comment réagir face à ses résultats pour le moins confus ? Interprétation des résultats négatifs Un test négatif peut avoir plusieurs causes. Par exemple, il est possible qu’au cours de la maladie Covid-19, la charge virale dans les excrétions soit très faible, voire absente. La période d’incubation durée entre l’infection et l’apparition des premiers symptômes est un élément à prendre en compte, dans la mesure où elle dure en moyenne 5 jours de 1 à 14 jours. Une personne guérie aura un résultat de test négatif. D’autre part, si le test est réalisé trop tôt ou trop tard, il peut présenter un “faux négatif”. Le résultat est négatif, mais la personne peut, malgré tout, porter le virus. Il y aurait entre 20 et 30 % de résultats faussement négatifs. Que faire si le test est négatif ? Si le test est négatif, une conduite est à tenir. Il est conseillé d’éviter les contacts avec les personnes vulnérables personnes âgées, comorbidité, femmes enceintes. Il est aussi recommandé de continuer à respecter les gestes barrières et à porter un masque, même là où il n’est pas obligatoire. Cet article vous-a-t-il été utile ?Cette nouvelle fait partie de nos se peut que son contenu ne soit pas à jour. archive les nouvelles 12 mois après leur parution. Pour être sûr d'avoir l'information la plus à jour sur ce sujet, interrogez notre moteur de recherche. ×À lire aussi
End’autres termes, une personne asymptomatique avec une PCR positive pourrait être diagnostiquée non malade. Ce qui entraîne un biais dans les statistiques des taux d’incidence qui mesurent des personnes non malades pour deux raisons : la première, le seuil de sensibilité des tests trop élevé donne des résultats trop sensibles. La seconde, conséquence
Identifiant NCT03303911 Statut de recrutement Terminé Il a été difficile de recruter des participants répondant aux critères d’entrée à l’étude âgés de plus de 65 ans et non pour des raisons de sécurité. Première publication 6 octobre 2017 Résultats affichés en premier 21 octobre 2019 Dernière mise à jour publiée 21 octobre 2019 Bref résumé Les principaux objectifs de cette étude sont Pour évaluer les paramètres pharmacocinétiques PK lors de doses répétées de 1,5 mg ou 3,0 mg cytisine lorsqu’il est administré selon le calendrier commercial de 25 jours. Évaluer les effets pharmacodynamiques PD p. Ex., Réduction du tabagisme avec des doses répétées de 1,5 mg ou 3,0 mg cytisine lorsqu’il est administré selon le calendrier commercial de 25 jours. Condition ou maladie Intervention / traitement Phase Sevrage tabagique Drogue La cytisine La phase 1 Phase 2 Tableau de mise en page pour les informations d’éligibilité Âges éligibles aux études 18 ans et plus adulte, adulte plus âgé Sexes éligibles à l’étude Tout Accepte les bénévoles en santé Non Critère d’intégration Fumeurs de cigarettes réguliers modérés minimum 10 cigarettes par jour qui veulent arrêter de fumer. Cotinine urinaire> 500 ng / mL. Monoxyde de carbone CO dans l’air expiré> 11 parties par million pas de cigarette 1 heure avant le test. Hommes et femmes en bonne santé âgés de 18 à 65 ans et plus. Si une femme en âge de procréer, un test de grossesse négatif lors du dépistage et de l’admission et disposée à utiliser une méthode de contraception efficace sauf si elle n’est pas en âge de procréer ou lorsque l’abstention de rapports sexuels est conforme au mode de vie préféré et habituel du sujet de la première dose jusqu’à 3 mois après la dernière dose de cytisine. S’il s’agit d’une femme en âge de procréer, un test de grossesse négatif lors du dépistage et de l’admission. Pour les besoins de cette étude, cela est défini comme le sujet étant aménorrhéique pendant au moins 12 mois consécutifs ou au moins 4 mois après la stérilisation post-chirurgicale y compris la ligature bilatérale des trompes de Fallope ou l’ovariectomie bilatérale avec ou sans hystérectomie. Le statut ménopausique sera confirmé en démontrant lors du dépistage que les taux d’hormone folliculo-stimulante FSH se situent dans la plage de référence de la pathologie respective. Dans le cas où le statut ménopausique d’un sujet a été clairement établi par exemple, le sujet indique qu’il est aménorrhéique depuis 10 ans, mais que les niveaux de FSH ne sont pas compatibles avec une condition postménopausique, la détermination de l’éligibilité du sujet sera à la discrétion de l’investigateur après consultation avec le commanditaire. Si un sujet de sexe masculin est prêt à utiliser une méthode de contraception efficace sauf si anatomiquement stérile ou lorsque l’abstention de rapports sexuels est conforme au mode de vie préféré et habituel du sujet de la première dose jusqu’à 3 mois après la dernière dose de cytisine. Sujet sans valeurs anormales cliniquement significatives de biochimie sérique, d’hématologie et d’examen urinaire dans les 28 jours précédant la première dose de cytisine. Sujet avec un dépistage négatif de l’abus de drogues urinaires, déterminé dans les 28 jours avant la première dose de cytisine un résultat d’alcool positif peut être répété à la discrétion de l’investigateur. Sujet avec des résultats négatifs pour le virus de l’immunodéficience humaine VIH, l’antigène de surface de l’hépatite B Hep B et les anticorps du virus de l’hépatite C Hep C. Sujet sans anomalie cliniquement significative de l’ECG à 12 dérivations, déterminé après un minimum de 5 minutes en décubitus dorsal dans les 28 jours précédant la première dose de cytisine. Sujet sans anomalie cliniquement significative des signes vitaux pression artérielle systolique entre 90-150 mmHg 18-65 ans et 90-160 mmHg âge> 65, tension artérielle diastolique DBP entre 50 et 90 mmHg et fréquence du pouls PR entre 40 110 bpm, mesuré sur le bras dominant après un minimum de 5 minutes en décubitus dorsal déterminé dans les 28 jours avant la première dose de cytisine. Le sujet doit être disponible pour terminer l’étude y compris les séjours en clinique et le suivi post-étude et se conformer aux restrictions de l’étude. Le sujet doit fournir un consentement éclairé écrit pour participer à l’étude. Critère d’exclusion Traitement avec des médicaments de sevrage tabagique bupropion, varénicline, tout traitement de remplacement de la nicotine dans les 8 semaines suivant la première dose de cytisine. Utilisation d’autres formes de nicotine cigarettes électroniques, tabac sans fumée dans les 8 semaines suivant la première dose de cytisine ou prévoyez d’utiliser ces produits pendant l’étude. Réaction d’hypersensibilité / allergie connue à la varénicline, à d’autres dérivés de la cytisine ou à l’un des excipients de la formulation Tabex. Antécédents de réactions d’hypersensibilité sévères à tout autre médicament. Traitement actuel par des antihypertenseurs, des statines, des tuberculostatiques, des cholinomimétiques ou des médicaments anticholinestérases. Antécédents de toute affection médicale par exemple gastro-intestinale, rénale ou hépatique ou chirurgicale par exemple cholécystectomie, gastrectomie pouvant affecter la pharmacocinétique du médicament absorption, distribution, métabolisme ou excrétion. Sujets féminins qui allaitent. Difficulté à donner du sang sur l’un ou l’autre bras ou antécédents connus. Antécédents d’alcoolisme ou de toxicomanie au cours des 2 dernières années. Utilisation de médicaments en vente libre, y compris des vitamines, des herbes médicinales et des compléments alimentaires dans les 14 jours ou 5 demi-vies, selon la plus longue des deux avant la première dose de cytisine, à moins que de l’avis du chercheur principal, le médicament n’interfère pas avec les procédures d’étude ou compromettre la sécurité du sujet. Participation à un essai clinique de médicament expérimental au cours des 3 mois précédents ou à un essai sur le médicament commercialisé au cours des 30 jours précédant la randomisation le jour 1. Don de 450 mL ou plus de sang ou antécédents de pertes sanguines importantes pour une raison quelconque ou plasmaphérèse dans les 3 mois précédant la première dose de cytisine. Incapacité de bien communiquer avec le chercheur principal ou les personnes désignées Problème de langage, mauvais développement mental ou fonction cérébrale altérée. Toute autre condition que le chercheur principal considère comme rendant le sujet inapproprié pour cette étude. Source We use cookies on our website to give you the most relevant experience by remembering your preferences and repeat visits. By clicking “Accept”, you consent to the use of ALL the cookies.
Unesérologie négative indiquera probablement une absence d’immunité protectrice du chat (avec risque d’infection et d’excrétion d’ookystes). Une sérologie positive indique le plus souvent une immunité efficace chez le chat. Toutefois, cette immunité peut aussi être faillible (surtout si infection récente avec excrétion d’ookystes, jeune chat primo-infecté, comorbidités
Dans un laboratoire de diagnostic entre 2016 et 2018, 46,7% des cas positifs de rotavirus chez les nourrissons étaient le résultat d’une excrétion virale liée au vaccin, selon une étude publiée dans Clinical Infectious Diseases. Les enquêteurs ont souligné l’importance de distinguer le virus vaccinal du type sauvage dans les tests diagnostiques de routine des nourrissons. L’avènement et la mise en œuvre du vaccin contre le rotavirus ont eu un effet positif significatif sur la nécessité d’une attention médicale à la suite de cette infection. Cependant, comme le vaccin contient une version atténuée vivante du virus, qui se réplique dans l’intestin et est donc excrété dans les selles, il peut exercer un effet de confusion sur le diagnostic de l’infection à rotavirus chez les personnes qui ont reçu le vaccin. Un diagnostic précis est crucial pour la gestion clinique et le suivi du rotavirus actif et de l’efficacité du vaccin. Cette étude de cohorte de Brisbane, Queensland, a recueilli des échantillons de selles hebdomadaires pour évaluer la question de l’excrétion du virus du vaccin contre le rotavirus chez les nourrissons dans le cadre du programme de vaccination à l’échelle de l’État. À l’aide de tests spécifiques pour les souches de rotavirus 1 et 5 RV1 et RV5, respectivement, un total de 465 échantillons positifs au rotavirus par réaction en chaîne de la polymérase PCR ont été retestés, dont 65 n=16, 24,6 % de nourrissons âgés de <1 an ont été recueillis pendant la période où le Queensland a utilisé le vaccin RV5 banque 1 et 400 n=136, de nourrissons âgés de <1 an de la période pendant laquelle le vaccin RV1 était utilisé banque 2. Parmi les échantillons de la banque 1 qui ont été testés positifs pour le rotavirus, 10,8% ont été testés positifs pour le RV5 ; tous provenaient de nourrissons âgés de <1 an. Parmi les échantillons de la banque 1 qui provenaient de nourrissons âgés de <1 an n=16, 43,8 % des détections étaient positives pour le RV5. Parmi les échantillons de la banque 2, 64 16,0 % étaient positifs pour le RV1, et tous sauf 2 provenaient de nourrissons. En outre, 2 échantillons provenant de nourrissons dans le pool de la banque 2 étaient positifs pour le RV5. Aucune différence significative n’a été observée dans la détection du virus vaccinal chez les nourrissons entre les échantillons de la banque 1 et de la banque 2 risque relatif, 0,93 ; IC à 95 %, 0,52-1,67. Dans de nombreux cas, les symptômes qui ont motivé le dépistage du rotavirus étaient très probablement dus à d’autres agents pathogènes présents en même temps que le virus vaccinal. De telles codétections ont été observées dans 12 des 65 18,5 % échantillons du banc 1 et dans 80 des 400 20,0 % échantillons du banc 2. Les agents pathogènes codétectés les plus fréquemment identifiés étaient le norovirus, l’adénovirus et la Salmonella non typhoïde ; les enquêteurs ont noté que dans les cas de codétection, ces agents pathogènes étaient plus probablement la cause des symptômes diarrhéiques. Les enquêteurs ont conclu que » ces données soulignent la nécessité de disposer de méthodes de diagnostic et de dépistage du rotavirus permettant de distinguer le virus vaccinal du virus de type sauvage lors du dépistage des nourrissons récemment vaccinés à l’aide de plateformes… dans les contextes où les tests disponibles ne peuvent pas distinguer le virus vaccinal du virus de type sauvage, alors un commentaire approprié devrait accompagner le résultat du test indiquant que la détection de l’ARN du rotavirus chez les nourrissons n’est pas nécessairement une indication d’infection, mais peut être due à l’excrétion du vaccin. » Divulgation Plusieurs auteurs de l’étude ont déclaré des affiliations avec l’industrie pharmaceutique. Veuillez consulter la référence originale pour obtenir la liste complète des divulgations des auteurs. Divulgation plusieurs auteurs de l’étude ont déclaré des affiliations avec l’industrie pharmaceutique.
BonjourPour faire des additions avec plus de 20 chiffres significatifs sans être pénalisé par des lenteurs je souhaite faire en Asm une fonction à laquelle je donne en entrée deux chaînes-numériques de longueur non limitée et qui renvoie le résultat de l’addition sous forme d’une autre chaîne dont les caractères numériques sont obtenus comme on apprend à
Le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère SRAS-CoV-2, l'agent causal du COVID-19, appartient à la même espèce que le virus responsable de l'épidémie de SRAS de 2003. Le nouveau virus est apparu en décembre 2019, à Wuhan, en Chine. , probablement des chauves-souris, bien que certaines théories suggèrent qu'une espèce intermédiaire aurait pu être impliquée. Des études sur la pandémie actuelle de COVID-19 ont montré que les infections par le SRAS-CoV-2 peuvent être transmises de l'homme aux chats, chiens et visons domestiques et non domestiques. Certaines expériences in vivo montrent également que si le SRAS-CoV-2 peut infecter les furets, les chats et les hamsters, d'autres animaux tels que les canards, les porcs et les poulets ne sont pas sensibles au virus. La transmission de chat à chat du SRAS-CoV-2 a été prouvée expérimentalement, mais on en sait peu sur l'importance de ce nouveau virus en tant que pathogène félin ou sur son potentiel zoonotique inverse. L'établissement de nouveaux réservoirs animaux de SRAS-CoV-2 pourrait poser de graves problèmes pour la santé humaine à l'avenir. À l'heure actuelle, nous n'avons aucune preuve de transmission de chat à humain ou que les chiens, les chats ou d'autres animaux de compagnie jouent un rôle significatif dans l'épidémiologie du SRAS-CoV-2 chez l'homme. Bien qu'il soit clair que la pandémie actuelle est due à une transmission interhumaine, il est important de déterminer si les animaux domestiques peuvent être infectés et s'ils présentent un risque pour l'homme, en particulier ceux qui ont des comorbidités qui sont plus susceptibles de progresser vers des maladie. Les animaux domestiques pourraient également servir de réservoir viral, permettant ainsi une transmission continue du virus, même lorsque la transmission interhumaine ralentit. Des études récentes provenant d'élevages de visons hollandais qui ont signalé à la fois une transmission vison-à-chat et vison-à-humain du SRAS-CoV-2 sont d'accord avec ce scénario. Bien que la pandémie de SRAS-CoV-2 en cours soit due à une transmission interhumaine, des inquiétudes ont été soulevées quant au fait que d'autres espèces pourraient avoir le potentiel de jouer un rôle en devenant un nouveau réservoir pour le virus. Dans une étude publiée sur le serveur de pré-impression bioRxiv *, une équipe de chercheurs de l'Université de Glasgow a utilisé une combinaison de techniques de laboratoire pour montrer que deux chats domestiques de ménages avec des cas positifs au COVID-19 présentant des symptômes de maladie respiratoire légère à sévère étaient infectés avec SARS-CoV-2. Poumon d'un chat infecté par le SRAS CoV-2; un signal positif pour la protéine de nucléocapside signal vert a été détecté dans le cytoplasme de l'épithélium bronchiolaire A; bar, 10 µm et l'ARN viral points rouges du gène de pointe était détectable dans les membranes alvéolaires B; bar, 100 µm ; contre-coloration à l'hématoxyline. Tissu pulmonaire félin testé positif pour l'antigène et l'ARN du SRAS-CoV-2 Deux chats de différents foyers au Royaume-Uni atteints d'une infection au COVID-19 ont été étudiés en utilisant l'immunofluorescence, la PCR quantitative à la transcriptase inverse, l'hybridation in situ et le séquençage du génome viral. Le tissu pulmonaire du chat 1 prélevé post-mortem a montré des résultats pathologiques et histologiques compatibles avec la pneumonie virale et a également été testé positif pour l'ARN et les antigènes du SRAS-CoV-2. Un écouvillon oropharyngé du chat 2 contenait de l'ARN viral et le chat présentait des signes de rhinite et de conjonctivite. Le séquençage à haut débit du virus collecté à partir du chat 2 a montré que le génome viral félin avait 5 polymorphismes nucléotidiques uniques par rapport à la séquence SARS-CoV-2 humaine britannique la plus proche. Une étude comparant le génome viral du chat 2 avec 9 autres séquences de SRAS-CoV-2 dérivées de chats provenant de diverses régions du monde n'a montré aucune mutation partagée. Les résultats de l'équipe ont confirmé que la transmission interhumaine du SRAS-CoV-2 est possible et peut provoquer des signes de maladie respiratoire chez les chats. Les résultats soulignent la nécessité d'une approche One Health Les rapports antérieurs de transmission interhumaine du virus SRAS-CoV-2 ont été sporadiques, peut-être parce que l'expérimentation animale est limitée. Ces rapports sous-estiment la fréquence réelle de la transmission interhumaine. La transmission zoonotique inverse du SRAS-CoV-2 représente un risque comparativement faible pour la santé animale ou publique dans les zones où la transmission d'humain à humain reste élevée. Sur la base de ces résultats de l'étude, l'équipe de l'Université de Glasgow a conclu que la transmission interhumaine du virus SRAS-CoV-2 s'est produite au Royaume-Uni pendant la pandémie de COVID-19, les chats développant une maladie respiratoire légère à sévère. Les résultats fournissent des informations cruciales sur la gestion des chats par les personnes à risque de développer une maladie grave. Bien que nous n'ayons actuellement pas de preuves montrant que les chats domestiques jouent un rôle dans l'épidémiologie du COVID-19, une meilleure compréhension des mécanismes de transmission interhumaine n'est possible qu'en surveillant les chats dans les ménages infectés par le COVID-19. Il sera important d'étudier si la transmission de chat à humain est possible ou probable, et de déterminer la durée de l'excrétion du virus et le niveau de contact avec les humains qui est nécessaire pour que la transmission se produise.» Les chercheurs estiment qu'en gardant à l'esprit la polyvalence du nouveau coronavirus, il est essentiel de surveiller la transmission du virus de chat à chat, d'homme à chat et de chat à homme. Les deux infections zoonotiques inversées rapportées dans cette étude soulignent la nécessité d'une approche One Health entre la santé publique et les organisations vétérinaires. *Avis important bioRxiv publie des rapports scientifiques préliminaires qui ne sont pas évalués par des pairs et, par conséquent, ne doivent pas être considérés comme concluants, orienter la pratique clinique / les comportements liés à la santé ou être traités comme des informations établies. Référence du journal Maladie respiratoire chez les chats associée à la transmission interhumaine du SRAS-CoV-2 au Royaume-Uni Margaret J Hosie, Ilaria Epifano, Vanessa Herder, Richard Orton, Andrew Stevenson, Natasha Johnson, Emma MacDonald, Dawn Dunbar, Michael McDonald, Fiona Howie, Bryn Tennant, Darcy Herrity, Ana C Filipe, Daniel G Streicker, Brian J Willett, Pablo R Murcia, Ruth F Jarrett, David L Robertson, William Weir, COVID-19 Genomics UK Consortium bioRxiv doi
LaPCR utilise un principe très particulier : la cible du test, un fragment d'ARN viral, est massivement amplifiée afin de permettre sa détection. Au cours de l'analyse, une réaction enzymatique associée à des « cycles » de variation de température permet une série de « réplications » successives de l’acide nucléique ciblé.
SYNTHÈSE ▼ Ce médicament fait l'objet d'une surveillance supplémentaire qui permettra l'identification rapide de nouvelles informations relatives à la sécurité. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté. Voir rubrique Effets indésirables pour les modalités de déclaration des effets indésirables. Classification pharmacothérapeutique VIDAL Infectiologie - Parasitologie Antiviraux - Virus du groupe Herpes HSV, VZV, CMV Létermovir Voie orale Classification ATC ANTIINFECTIEUX GENERAUX A USAGE SYSTEMIQUE ANTIVIRAUX A USAGE SYSTEMIQUE - ANTIVIRAUX A ACTION DIRECTE AUTRES ANTIVIRAUX LETERMOVIR Excipients hydroxypropylbétadex, sodium chlorure, sodium hydroxyde, eau ppi Excipients à effet notoire EEN avec dose seuil sodium Présentation PREVYMIS 240 mg S diluer perf Fl Cip 3400930127254 Liste 1 Agréé aux Collectivités Commercialisé FORMES et PRÉSENTATIONS Solution à diluer pour perfusion à 240 mg concentré stérile ; liquide limpide, incolore, pH entre 7 et 8 Flacon en verre clair de type I 30 mL muni d'un bouchon de 20 mm en chlorobutyle recouvert de fluor et d'un capuchon flip-off en aluminium contenant 12 mL bouchon vert de solution. Solution à diluer pour perfusion à 480 mg concentré stérile ; liquide limpide, incolore, pH entre 7 et 8 Flacon en verre clair de type I 30 mL muni d'un bouchon de 20 mm en chlorobutyle recouvert de fluor et d'un capuchon flip-off en aluminium contenant 24 mL bouchon bleu foncé de solution. COMPOSITION p flacon Letermovir 240 mg ou480 mg Excipients hydroxypropylbetadex cyclodextrine, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium E524, eau pour préparations injectables. Excipients à effet notoire sodium 23 mg [1,0 mmol]/flacon à 240 mg ; 46 mg [2,0 mmol]/flacon à 480 mg* ; hydroxypropylbetadex cyclodextrine 1800 mg/flacon à 240 mg ; 3600 mg/flacon à 480 mg. * Équivalent à 1,15 % flacon à 240 mg et à 2,30 % flacon à 480 mg de la prise maximale quotidienne de sodium de 2 g recommandée pour un adulte par l'OMS. Prevymis est indiqué dans la prophylaxie de la réactivation du cytomégalovirus CMV et de la maladie à CMV chez les adultes séropositifs au CMV receveurs [R+] d'une greffe allogénique de cellules souches hématopoïétiques GCSH.Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des agents antiviraux. DCPOSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION Connectez-vous pour accéder à ce contenu DCMISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI Surveillance de l'ADN du CMV La sécurité et l'efficacité du letermovir ont été établies chez des patients présentant un résultat négatif au test ADN du CMV avant initiation de la prophylaxie. L'ADN du CMV a été surveillé chaque semaine jusqu'à la Semaine 14 post-greffe, et ensuite toutes les 2 semaines jusqu'à la Semaine 24. En cas d'ADNémie ou de maladie à CMV cliniquement significative, la prophylaxie par le letermovir était arrêtée et une thérapie préemptive standard PET ou un traitement était instauré. Pour les patients chez lesquels la prophylaxie par letermovir était instaurée et dont le test ADN du CMV à l'inclusion s'est révélé positif par la suite, la prophylaxie pouvait être poursuivie si les critères d'initiation de la PET n'étaient pas remplis cf Pharmacodynamie. Risque d'effets indésirables ou d'effet thérapeutique diminué en raison d'interactions médicamenteuses L'utilisation concomitante de Prevymis avec certains médicaments peut donner lieu à des interactions médicamenteuses connues ou potentiellement significatives, dont certaines peuvent entraîner de possibles effets indésirables cliniquement significatifs liés à une exposition accrue aux traitements concomitants ou au letermovir. une diminution significative des concentrations plasmatiques du traitement concomitant, qui peut entraîner un effet thérapeutique moindre du traitement concomitant. Se reporter au Tableau 1 concernant les mesures de prévention ou de gestion de ces interactions médicamenteuses connues ou potentiellement significatives, incluant des recommandations posologiques cf Contre-indications, Interactions. Interactions médicamenteuses Prevymis doit être utilisé avec prudence avec des médicaments qui sont des substrats du CYP3A à marge thérapeutique étroite par ex. alfentanil, fentanyl et quinidine, car l'administration concomitante peut entraîner des élévations des concentrations plasmatiques des substrats du CYP3A. Une surveillance étroite et/ou un ajustement posologique des substrats du CYP3A co-administrés sont recommandés cf Interactions. Une surveillance accrue de la ciclosporine, du tacrolimus, du sirolimus est généralement recommandée les 2 premières semaines après l'initiation et l'arrêt du letermovir cf Interactions ainsi qu'après changement de la voie d'administration du letermovir. Le letermovir est un inducteur modéré des enzymes et des transporteurs. L'induction peut entraîner une réduction des concentrations plasmatiques de certains médicaments métabolisés et transportés cf Interactions. Un suivi thérapeutique pharmacologique STP est donc recommandé pour le voriconazole. L'utilisation concomitante de dabigatran doit être évitée en raison du risque de baisse de l'efficacité du dabigatran. Le letermovir peut augmenter les concentrations plasmatiques des médicaments transportés par les OATP1B1/3 tels que la plupart des statines cf Interactions et Tableau 1. Administration à travers un filtre en ligne stérile en PES de 0,2 microns ou 0,22 microns Prevymis solution à diluer pour perfusion peut contenir quelques petites particules translucides ou blanches liées au produit. L'administration de la solution diluée de Prevymis exige toujours l'utilisation d'un filtre en ligne stérile en PES de 0,2 microns ou 0,22 microns, que ces particules liées au produit soient visibles ou non dans le flacon ou dans la solution diluée cf Posologie et Mode d'administration, Modalités de manipulation et d'élimination. Excipients Prevymis 240 mg solution à diluer pour perfusion contient 23 mg soit 1,0 mmol de sodium par dose. Ceci doit être pris en compte chez les patients suivant un régime contrôlé en sodium. Prevymis 480 mg solution à diluer pour perfusion contient 46 mg soit 2,0 mmol de sodium par dose. Ceci doit être pris en compte chez les patients suivant un régime contrôlé en sodium. DCFERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT Grossesse Aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation du letermovir chez la femme enceinte. Les études chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction cf Sécurité préclinique. Prevymis n'est pas recommandé pendant la grossesse ni chez la femme en âge de procréer n'utilisant pas de contraception. Allaitement On ne sait pas si le letermovir est excrété dans le lait maternel. Les données pharmacodynamiques/toxicologiques disponibles chez l'animal ont mis en évidence l'excrétion de letermovir dans le lait cf Sécurité préclinique. Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu. Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement par Prevymis en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme. Fertilité Aucun effet n'a été observé sur la fertilité des rats femelles. Une toxicité testiculaire irréversible et une altération de la fertilité ont été observées chez les rats mâles, mais pas chez les souris mâles ni chez les singes mâles. DCCONDUITE et UTILISATION DE MACHINES Prevymis peut avoir une influence mineure sur l'aptitude à conduire ou à utiliser des machines. Une fatigue et des vertiges ont été rapportés chez certains patients pendant le traitement par Prevymis, pouvant avoir une influence sur l'aptitude du patient à conduire et à utiliser des machines cf Effets indésirables. Aucun cas de surdosage avec Prevymis n'a été rapporté chez l'Homme. Lors d'essais cliniques de Phase 1, 86 sujets sains ont reçu des doses de Prevymis comprises entre 720 mg/jour et 1 440 mg/jour pendant une période allant jusqu'à 14 jours. Le profil d'effets indésirables était similaire à celui de la dose clinique de 480 mg/jour. Il n'existe pas d'antidote spécifique en cas de surdosage avec Prevymis. En cas de surdosage, il est recommandé de surveiller le patient à la recherche d'effets indésirables et d'instaurer un traitement symptomatique approprié. On ignore si la dialyse permet d'éliminer Prevymis de la circulation systémique de manière significative. PPSÉCURITÉ PRÉCLINIQUE Toxicité générale Une toxicité testiculaire irréversible a été observée uniquement chez les rats à des niveaux d'exposition systémique ASC au moins 3 fois supérieurs aux expositions observées chez l'Homme à la dose recommandée chez l'Homme DRH. Cette toxicité a été caractérisée par une dégénérescence des tubes séminifères, une oligospermie et la présence de débris cellulaires dans les épididymes, avec une baisse du poids des testicules et des épididymes. Il n'y a pas de toxicité testiculaire chez le rat à des expositions ASC similaires aux expositions obtenues chez l'Homme à la DRH. Aucune toxicité testiculaire n'a été observée chez la souris et le singe aux doses maximales testées, avec des expositions respectivement jusqu'à 4 fois et 2 fois supérieures aux expositions observées chez l'Homme à la DRH. La pertinence chez l'Homme est inconnue. On sait que l'hydroxypropylbetadex peut provoquer une vacuolation du rein chez le rat après administration par voie intraveineuse de doses supérieures à 50 mg/kg/jour. Une vacuolation avait été observée dans les reins des rats ayant reçu par voie IV du letermovir formulé avec 1500 mg/kg/jour d'hydroxypropylbetadex, excipient de la cyclodextrine. Carcinogenèse Il n'a pas été réalisé d'étude de carcinogenèse avec le letermovir. Mutagenèse Le letermovir n'a pas été génotoxique dans une batterie d'essais in vitro ou in vivo, incluant les essais de mutagenèse microbienne, d'aberrations chromosomiques sur cellules d'ovaire de hamster chinois et dans une étude in vivo des micronoyaux chez la souris. Reproduction Fertilité Dans les études sur la fertilité et le développement précoces de l'embryon chez le rat, aucun effet du letermovir n'a été observé sur la fertilité des femelles. Chez les rats mâles, une baisse de la concentration des spermatozoïdes, une baisse de la motilité des spermatozoïdes et une baisse de la fertilité ont été observées à des niveaux d'exposition systémique au moins 3 fois supérieurs à l'ASC chez l'Homme à la DRH voir Toxicité générale ». Chez des singes ayant reçu du letermovir, il n'y a eu aucune preuve de toxicité testiculaire par évaluation histopathologique, mesure de la taille des testicules, analyse des hormones sanguines hormone folliculo-stimulante, inhibine B et testostérone et par évaluation des spermatozoïdes nombre, motilité et morphologie des spermatozoïdes à des niveaux d'exposition systémique environ 2 fois supérieurs à l'ASC chez l'Homme à la DRH. Développement Une toxicité maternelle chez les rats y compris une diminution de la prise de poids a été observée à 250 mg/kg/jour environ 11 fois l'ASC à la DRH ; chez la progéniture, une baisse du poids du fœtus avec un retard d'ossification, des fœtus légèrement œdémateux et une incidence accrue de cordons ombilicaux courts et de variations et malformations des vertèbres, des côtes et du pelvis ont été observés. Aucun effet sur la mère ou sur le développement n'a été observé à la dose de 50 mg/kg/jour environ 2,5 fois l'ASC à la DRH. Une toxicité maternelle chez des lapins y compris mortalité et avortements a été observée à 225 mg/kg/jour environ 2 fois l'ASC à la DRH ; chez la progéniture, une incidence accrue de malformations et de variations des vertèbres et des côtes a été observée. Dans l'étude de développement pré- et post-natal, le letermovir a été administré par voie orale à des rats femelles gestantes. Aucune toxicité sur le développement n'a été observée jusqu'à l'exposition la plus élevée testée 2 fois supérieure à l'ASC à la DRH. Médicaments incompatibles Prevymis solution à diluer pour perfusion est physiquement incompatible avec le chlorhydrate d'amiodarone, l'amphotéricine B liposomale, l'aztréonam, le chlorhydrate de céfépime, la ciprofloxacine, la ciclosporine, le chlorhydrate de diltiazem, le filgrastim, le sulfate de gentamicine, la lévofloxacine, le linézolide, le lorazépam, le chlorhydrate de midazolam, le chlorhydrate de mycophénolate mofétil, l'ondansétron, le palonosétron. Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments, à l'exception de ceux mentionnés dans la rubrique Modalités de manipulation et d'élimination. Poches intraveineuses et matériaux des sets de perfusion incompatibles Prevymis solution à diluer pour perfusion est incompatible avec les plastifiants phtalate de diéthylhexyle DEHP et les tubulures d'administration IV contenant du polyuréthane. Ce médicament ne doit pas être utilisé avec d'autres poches intraveineuses et matériaux de sets de perfusion, à l'exception de ceux mentionnés en rubrique Modalités de manipulation et d'élimination. DPMODALITÉS DE CONSERVATION Durée de conservation Flacon non ouvert 30 mois. Après ouverture utiliser immédiatement. Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation concernant la température. A conserver dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière. Conservation de la solution diluée La stabilité physico-chimique en cours d'utilisation a été démontrée pendant 48 heures à 25 °C et pendant 48 heures entre 2 et 8 °C. D'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. S'il n'est pas utilisé immédiatement, les durées et conditions de conservation avant utilisation et en cours d'utilisation relèvent de la seule responsabilité de l'utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2 °C et 8 °C, sauf en cas de dilution réalisée en conditions d'asepsie dûment contrôlées et validées. DPMODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION Les flacons de Prevymis sont exclusivement à usage unique. Préparation Les instructions de préparation et d'administration sont identiques quelle que soit la dose. Prevymis solution à diluer pour perfusion doit être dilué avant utilisation par voie intraveineuse. Examiner le contenu du flacon à la recherche d'une décoloration et de particules avant dilution. Prevymis solution à diluer pour perfusion est une solution limpide, incolore et peut contenir quelques petites particules translucides ou blanches liées au produit. Ne pas utiliser le flacon si la solution est trouble, présente une décoloration ou contient des matières autres que quelques petites particules translucides ou blanches. Ne pas utiliser Prevymis solution à diluer pour perfusion avec des poches IV et matériaux des sets de perfusion contenant du polyuréthane ou du plastifiant phtalate de diéthylhexyle DEHP. Les matériaux sans phtalate sont aussi sans DEHP. Ne pas secouer le flacon de Prevymis. Ajouter un flacon à dose unique soit 12 mL dose de 240 mg soit 24 mL dose de 480 mg de Prevymis solution à diluer pour perfusion dans une poche IV de 250 mL préremplie contenant soit du chlorure de sodium à 0,9 % soit du glucose à 5 % et mélanger la solution diluée par inversion délicate. Ne pas secouer. Une fois diluée, la solution de Prevymis est limpide, d'incolore à jaune. Les variations au sein de cette gamme de couleur n'affectent pas la qualité du produit. La solution diluée doit être examinée visuellement avant administration à la recherche de particules et d'une décoloration. Jeter le contenu si la solution diluée est trouble, présente une décoloration ou contient des matières autres que quelques petites particules translucides ou blanches. Si un flacon est ajouté dans une poche IV de 250 mL de diluant, la concentration finale de letermovir serait de 0,9 mg/mL pour une dose de 240 mg et de 1,8 mg/mL pour une dose de 480 mg. Administration Cf Posologie et Mode d'administration. La solution diluée de Prevymis doit être administrée à travers un filtre en ligne stérile en polyéthersulfone PES de 0,2 microns ou 0,22 microns. Solutions intraveineuses et autres médicaments compatibles Prevymis solution à diluer pour perfusion est compatible avec les solutions de chlorure de sodium à 0,9 % et de glucose à 5 %. Prevymis ne doit pas être administré simultanément par la même ligne intraveineuse ou cathéter avec d'autres médicaments et associations de solvants, à l'exception de ceux listés ci-dessous. Liste des médicaments compatibles lorsque Prevymis et ces médicaments* sont préparés dans du chlorure de sodium à 0,9 % Ampicilline sodique. Ampicilline sodique/Sulbactam sodique. Globuline anti-thymocyte. Caspofungine. Daptomycine. Citrate de fentanyl. Fluconazole. Insuline humaine. Sulfate de magnésium. Méthotrexate. Micafungine. * Se référer au RCP pour confirmer la compatibilité de la co-administration simultanée. Liste des médicaments compatibles lorsque Prevymis et ces médicaments* sont préparés dans du glucose à 5 % Amphotéricine B complexe lipidique**. Anidulafungine. Céfazoline sodique. Ceftaroline. Ceftriaxone sodique. Doripénème. Famotidine. Acide folique. Ganciclovir sodique. Succinate d'hydrocortisone sodique. Sulfate de morphine. Bitartrate de norépinéphrine. Pantoprazole sodique. Chlorure de potassium. Phosphate de potassium. Tacrolimus. Télavancine. Tigécycline. * Se référer au RCP pour confirmer la compatibilité de la co-administration simultanée. ** L'amphotéricine B complexe lipidique est compatible avec Prevymis. Cependant, l'amphotéricine B liposomale est incompatible cf Incompatibilités. Poches intraveineuses et matériaux des sets de perfusion compatibles Prevymis est compatible avec les poches intraveineuses et les matériaux des sets de perfusion suivants. Toute poche intraveineuse ou tout matériau des sets de perfusion non listés ci-dessous ne doivent pas être utilisés. Matériaux des poches intraveineuses Chlorure de polyvinyle PVC, éthylène-acétate de vinyle EVA et polyoléfine polypropylène et polyéthylène. Matériaux des sets de perfusion PVC, polyéthylène PE, polybutadiène PBD, caoutchouc de silicone SR, copolymère styrène-butadiène SBC, copolymère styrène-butadiène-styrène SBS, polystyrène PS. Plastifiants Tris 2-etylhexyl trimellitate TOTM, phtalate de butyle benzyle BBP. Cathéters Polyuréthane radio-opaque. Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGELISTE I Médicament soumis à prescription hospitalière. AMMEU/1/17/1245/003 ; CIP 3400930127254 2018, RCP rév solution à diluer pour perfusion à 240 mg. EU/1/17/1245/004 ; CIP 3400930127261 2018, RCP rév solution à diluer pour perfusion à 480 mg. Titulaire de l'AMM Merck Sharp & Dohme Waarderweg 39, 2031 BN Haarlem, Pays-Bas.
. 48 493 222 287 232 461 390 40
résultat compatible avec une excrétion virale significative